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dimanche 4 février 2007

Les Ségollande se plaignent de tout et de rien.

Royal combat-elle à la loyale et avec ... respect?
Marie-sEGOlène ne se pose évidemment pas en faible femme, victime du machisme du monde entier. Avec le PS, elle ne trouve pas seulement à redire sur tout, ce en quoi elle serait -peut-être- dans son rôle de rivale, mais elle lance des campagnes de diffamation sur les hommes et les services de l'Etat, afin d'une part de distraire l'opinion de ses gaffes et d'autre part d'accréditer l'idée que toute activité du gouvernement français serait suspecte et devrait cesser dès l'instant qu'elle est candidate.
Bien qu'elle pille les hommes politiques de France et de Navarre, pour recycler leurs idées et actions, elle sélectionne et oublie volontiers que Balladur et... Jospin, premiers ministres et non pas ministres, étaient restés au pouvoir aussi longtemps que possible, avant de faire campagne. Que le PS s'indigne ou exige maintenant des départs dénote un manque de respect tout sauf 'juste' des électeurs, en escomptant qu'ils auront oublié, qu'ils sont facilement manipulables et s'indigneront à leur tour!

Nouvelle polémique à l'initiative des socialistes. Sous prétexte d'une enquête des RG, elle vise en réalité le principal rival de la candidate PS, avec la participation de la 'guest star' Bruno Rebelle. Sans emploi, l'ex-directeur de Greenpeace-France se recase plus franchement en politique au service de Miss Boulettes qui l'entraîne aussi sec dans un mauvais coup. Rappelez-vous donc que B. Rebelle s'était montré ulcéré que les RG puissent s'intéresser à sa misérable personne et le bon peuple avait craint qu'il en fût de même pour chacun d'entre nous. L'horreur, même pour ceux qui n'ont rien à se reprocher.
VOIR et ECOUTER la polémique: reportage à charge

Or, Bruno Rebelle n'est pas monsieur tout le monde. Il avait, en qualité de directeur France de Greenpeace couvert l'interception d'un convoi de camions chargés de plutonium. Coup d'éclat qui le désignait de ce fait, d'office et automatiquement, pour une enquête des RG.
LIRE aussi le prochain billet de PaSiDupes: Rebelle, Bruno.

Sans apporter de PREUVES, le PS accuse!
VOYEZ et ECOUTEZ une synthèse... où la subjectivité des allégations est patente et la généralisation grossière!

Comme s'ils se tenaient dans les starting blocks, les ténors du parti socialiste n'ont pas tardé à s'ulcérer. Avant même le démenti du président de l'UMP, Jack Lang s'est déclaré "indigné par la campagne du ministre de l'Intérieur et de ses sbires", tandis que le porte-parole du PS, Julien Dray, qualifiait de "pratiques inacceptables" les agissements du ministre de l'Intérieur. Quant à
, le Premier secrétaire, il a demandé à ce que l'information soit vérifiée immédiatement. Il a ajouté qu' "il faudrait en tirer toutes les conséquences au niveau de la campagne présidentielle", si jamais l'information venait à se confirmer.
Outre l'expression de beaux sentiments par ses sbires,
Flamby 1er recourt prudemment ? avec usage du conditionnel... (lien LCI avec pub!),
et de façon significative au ...conditionnel encore et un merveilleux 'je l'espère' (lien avec pub) pour adresser ses menaces. Avec des 'si'... Mais, dans toutes ces précautions, le lecteur distingue l'aveu implicite que les accusations non avérées sont nulles et non avenues ! L'objectif est 'simplement' de faire du tort, avec 'respect'...
Le PS occulte les précédents historiques de la V° République, tel l'exemple pourtant récent de Jospin. Alors, accusé pourtant par la gauche d'être à l'origine d'une confusion des genres liée à son double statut de candidat à la présidentielle et de ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy a répliqué en recommandant aux responsables socialistes de "garder leurs nerfs."
ECOUTER la réaction de Sarkozy.



Bruno Rebelle joue son rôle à fond... Le 24 janvier 2007, il porte plainte contre X. C'est l'occasion de passer devant les médias et de nuire au rival de sa patronne.
VOIR et ECOUTER attentivement: (lien mort, désolé) le 24 janvier 2006, pour Bruno Rebelle, le Canard Enchaîné et les RG, c'est la même chose?... Il fallait oser! Il l'a fait...

RG, Rebelle et Ségolène
Le même, à la sortie (03/02/2007) de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL), après avoir consulté sa fiche, a perdu de sa superbe...
Il déclare finement que son dossier est incomplet... Qu'en pense son avocat, Maître J.-P. Mignard, également ami et conseiller juridique de la cheftaine de campagne socialiste et de son ex-concubin dans le coup monté de l'ISF également, qui orchestre ce petit concerto gross? Il est très sollicité, ce Cher Maître... Et ce n'est pas une indication sur la nature du lien entre les deux coups bas! Pas de quoi fouetter un chat!
VOYEZ et ECOUTEZ -le!
On aura noté le mot 'tentative'... et aussi 'pas actuel' qui donnent raison et rendent justice à l'accusé, qui n'est donc pas le méchant dont le fourbe Dray, l'illustre D'Jack Lang et l'ex-concubin de la candidate ont tenté d'imposer l'image auprès de l'opinion.

Sarkozy va-t-il saisir la justice pour diffamation?

LIRE la dépêche d'Associated Press (03/02/2007-italiques, soulignement et commentaires en couleur de PaSiDupes):

Fiché aux RG, Bruno Rebelle relève des "incohérences"

PARIS (AP) - L'ancien responsable de Greenpeace Bruno Rebelle a consulté samedi le dossier que les Renseignements généraux ont rassemblé sur lui et qui a été actualisé après le 4 janvier, date de son ralliement à l'équipe de Ségolène Royal. N'y trouvant pas certains éléments sur sa vie privée qui d'après un journal apparaissaient pourtant dans sa notice -, il a confié "rester sur (sa) faim".
"Les incohérences qui existent dans ce dossier montrent bien qu'on ne me dit pas la vérité aujourd'hui", a-t-il lancé (affirmation subjective paranoïaque, diffamatoire) en sortant du siège de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), à Paris. Il venait d'y consulter, pendant un peu plus d'une heure et demie, les documents le concernant apportés en début d'après-midi par Denis Tromeur, sous-directeur à la DCRG (Direction centrale des renseignements généraux).
Bruno Rebelle a déploré "que le candidat de l'UMP utilise, semble-t-il, (précaution sournoise) les moyens auxquels il a accès en violation des pratiques républicaines et en violation probablement même de la loi". (violations non avérées) Les RG sont placés sous l'autorité du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, adversaire de Ségolène Royal dans la course à l'Elysée.
Bruno Rebelle a présidé Greenpeace France jusqu'en juin 2003 et il a quitté les dernières fonctions qu'il occupait au sein de l'organisation écologiste internationale en novembre 2006. Le 4 janvier 2007, il a été annoncé publiquement qu'il devenait conseiller de Ségolène Royal pour l'environnement. Selon son avocat, les RG auraient alors dû cesser de mettre sa fiche à jour. "C'est la loi", a affirmé samedi Me Jean-Pierre Mignard.
Or, les RG ont continué à enquêter après cette date. Bruno Rebelle, qui a vu dans son dossier des documents datant du 22 janvier 2007, a dénoncé ces pratiques qui avaient pour but selon lui de "déstabiliser" l'équipe de candidate socialiste.
Brigitte Rossigneux, la journaliste du "Canard Enchaîné" qui a révélé l'affaire le 24 janvier, affirme que la note sur Bruno Rebelle a été actualisée "à la demande expresse du cabinet de Nicolas Sarkozy". (Quelles sont ses preuves?) Elle affirme que six policiers ont été mobilisés et que la "vie personnelle" de Bruno Rebelle a été examinée, notamment son divorce.
D'autres journaux qui se sont procuré la fiche, dont "Le Monde" et "Le Parisien", n'ont pas trouvé trace d'enquête sur ce divorce. Brigitte Rossigneux assure qu'une "version light" de la notice a été transmise à ses confrères.
(Comment le Canard Enchaîné en saurait-il plus long, alors que ces éléments n'ont pas été relévés par l'intéressé?)

Bruno Rebelle a laissé entendre que le dossier que lui ont présenté samedi les RG avait peut-être été édulcoré. (Sur quelles preuves s'appuie-t-il pour insinuer publiquement?) "Les éléments concernant ma vie privée qui ont été communiqués dans la presse n'y figurent pas", a-t-il rapporté. "Je reste sur ma faim". Rappelant que la police des polices avait ouvert une investigation sur une fuite, il a remarqué: "s'il y a fuite, c'est bien qu'il y a information".
Le conseiller de Ségolène Royal a porté plainte contre X pour atteinte à l'intimité de sa vie privée. Selon son avocat, Me Mignard, un juge d'instruction devrait être désigné "dans les jours qui viennent" et il pourrait entendre les policiers susceptibles d'avoir mené l'enquête controversée. AP

Coup foireux?

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