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mardi 7 août 2007

La CGT de Roissy contre la volonté du peuple de France

Actions de déstabilisation du pays

Dans une lettre ouverte en date du mercredi 13 juin 2007, ALTER d’Air France écrivait ce qui suit (extrait) au Président Directeur Général de la compagnie nationale Air France :

‘ALTER

A l'origine de cette action, les syndicats CGT, CFDT, CFTC, Sud Aérien et les syndicats de pilotes minoritaires Spaf et Alter, ainsi que le Réseau Education Sans Frontières (RESF) et des mouvements de sans-papiers.
Yvon Tuile, de la CGT Air France a ainsi affirmé que "lors du dernier comité central d'entreprise, pour la première fois, l'ensemble des syndicats d'Air France a demandé l'arrêt des expulsions. Nous sommes là pour le faire savoir aux actionnaires. L'élan qui a été pris ne s'arrêtera pas".

La manière forte est la politique consensuelle de certains syndicats : le dialogue à une centaine de personnes serait facilité. C’est pourquoi ces militants se sont rassemblés jeudi 12 juillet au Carrousel du Louvre à Paris, afin de demander l'arrêt des expulsions sur les vols de la compagnie. Il se trouvait que les actionnaires d'Air France s’y réunissaient justement en assemblée générale (AG).

De même, Mahmadou Bathil, membre de la CFTC, a précisé que "des sans-papiers sont attachés, scotchés, bâillonnés. Le temps est venu de dire stop! Si nous existons c'est grâce aux passagers et nous ne pouvons leur infliger ça". Croyez-vous qu’ils sont bâillonnés parce qu’ils ne troublent pas l’ordre public et attachés bien qu’ils ne menacent personne ?

Richard Moyon de RESF ne dissimule pas que cette "mobilisation solidaire contre les expulsions" sur les vols d'Air France "s'inscrit dans un mouvement de fond de la société". La conjonction des moyens et la collusion des activistes ne font pas de doute : "Ce mouvement fait suite à celui des parents d'élèves qui se sont mobilisés dans les écoles pour s'opposer à l'expulsion de familles."

Parallèlement à la manifestation, Pascal Zedikian, un représentant d’une partie des salariés au conseil d'administration de la compagnie nationale, prévoit de réclamer un arrêt des expulsions à l'occasion de cette AG, à laquelle le PDG de la compagnie, doit participer. Ce sont les clandestins et leurs agitateurs politiques et syndicaux contre l’application de la loi, des lois votées au Parlement par des élus démocratiquement choisis par le peuple.

C’est une minorité d’activistes qui s’oppose à la majorité des Français.

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