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lundi 21 juillet 2008

L’amère Royal s’en prend au « régime du mépris généralisé »

Désirdavenir Royal ne verrait pas la victoire du PS dans l’échec de la réforme des institutions
Marie-sEGOlène Royal a besoin de baume au cœur
La blessure de Sa Cynique Majesté Royal à la présidentielle reste béante et la battue n’a actuellement qu’un désir, c’est l’échec de la révision constitutionnelle. Le Parlement est réuni aujourd’hui lundi en Congrès à Versailles pour adopter ou repousser le projet de réforme de la Constitution de la Ve République qui date de 1958. Alors que quatre des propositions du projet de la candidate socialiste à la présidentielle ont été reprises dans la version du gouvernement de réforme des institutions, le PS votera contre son adoption, hormis Jack Lang.
Or, hier dimanche, en guise comme promis de contribution positive, la vaincue de la présidentielle a vitupéré tout à son aise dans un entretien avec Le Parisien Aujourd'hui en France. En page 4, toutefois... Celle qui méprise les élus de la Région Poitou-Charentes, tel le dénommé Fountaine, y déclare : « Le sarkozysme, c’est le régime du mépris généralisé ».
Ainsi, la prétendante au poste de Premier secrétaire du PS participe-t-elle au dénigrement, dans l’intérêt supérieur du pays, de tout ce que le gouvernement peut entreprendre. Elle a en effet affirmé qu’ « On pourra simplement parler d'un échec du pouvoir en place qui a cru pouvoir acheter des parlementaires ou faire pression sur eux pour faire adopter un texte médiocre". Que celle qui n’a aucun mandat national n’est-elle parlementaire.
La méchanceté suinte de tous les propos de la mauvaise qui méprise tout le monde, jusqu’à son propre parti.
La déclaration précédente est en fait tronquée par l’agence de presse française (A*P) et vient en réponse à une question du Parisien : « Si la révision échoue, pourra-t-on parler d’une victoire du PS ? », dans son délire psychotique, elle réplique : « Non ! » Et ajoute ensuite: « On pourra simplement parler d’un échec du pouvoir en place.» Elle est d’une part méprisante envers le PS et l’opposition et, d’autre part, monomaniaque.
Sa Cynique Majesté Royal porte impunément des accusations sans preuves.
Son indigne affirmation que « le pouvoir en place a cru pouvoir acheter des parlementaires ou faire pression sur eux’ n’est pas fondée autrement que sur des déductions hasardeuses. C’est ainsi que les rumeurs naissent de supputations et de la malveillance de quelques vertueux. Celle qui appelle de ses vœux une « république du respect » s’y prend donc étrangement. Car, dans le même temps, elle considère que la méthode de Nicolas Sarkozy "produit une déchirure institutionnelle, sociale et humaine". Elle ne produit pourtant aucune illustration ’institutionnelle, sociale, humaine’, et seules des affirmations gratuites suffisent à cette malveillante aux exigences morales élevées, pour les autres. Un petit stage intensif de prières s’impose d’urgence dans la pénombre d’une église italienne, ni vue, ni connue : à défaut des adhérents, le ciel reconnaîtra les siens !
Tout aussi déconcertante est la sollicitude de Royal envers … François Fillon !
Sa Cynique Majesté s’inquiète en effet de l’avenir du Premier Ministre. Elle considère que l’évocation par le président du remplacement de François Fillon en 2009 est "un manque de respect et une incroyable désinvolture de la part du chef de l'Etat vis-à-vis de son Premier ministre".
Elle atteint là encore des sommets dans l’hypocrisie et l’ignorance.
Le Premier Ministre est nommé par le Président qui peut le révoquer à tout moment, comme le prévoit la Constitution, dont on peut donc recommander la lecture à celle qui préconise le rejet de sa rénovation. On est aussi en droit de se demander si celle qui milite contre la révision a une meilleure connaissance du projet de réforme que de l’original !
L'ancienne candidate socialiste à la présidentielle en est restée à la méthode globale
La vipère remarque notamment qu'il n'est "malheureusement pas question" du mandat unique dans le texte, et qu'"il y manque tant de choses". Les généralisations abusives ne lui font pas peur. "Tout le monde est malmené, a-t-elle ajouté, sansnuances, en citant la justice et le Parlement "qui ne sont pas respectés" et les syndicats qui "sont piétinés". L’automne et le printemps derniers, les syndicats ont pourtant pu tout à loisir piétiner le pavé parisien et des grandes villes de France : qu’il y eût peu d’amateurs de randonnées syndicales est-il le signe d’une opposition ‘juste’ ?
Son sens de l’humour ne saute pas aux yeux
L’amère susnommée sur les propos de Nicolas Sarkozy qui a ironisé sur les déblatérations de l’amère susnommée : "Ségolène Royal est vraiment trop! Si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer". Il est en effet allé un peu loin en envisageant de l’inventer !... D’ailleurs, Royal a eu toute latitude pour recourir à la méthode Coué: "Il a dû faire un lapsus, il a dû penser: elle est vraiment top, si elle n'existait pas elle manquerait beaucoup", a plaisanté Sa Cynique Majesté Royal ajoutant, dans l’inconscience de son état: "A ce niveau d'agressivité de la droite, je fais le choix de l'humour". Est-elle plus performante dans le registre de l’humour que de l’agressivité ? Cela reste vraiment à prouver, comme toujours, la concernant.
Toujours plus hilarante, l’inénarrable est revenue sur un sketch précédent.
A propos de "la mise à sac" de son domicile, au top de sa forme, l’agressive refuse la présomption d’innocence à ses accusés sans preuves. Mieux, la hyène harcèle et s’acharne. "Le procureur de la République doit rester le seul habilité à communiquer" sur ce sujet, a-t-elle prévenu.
Sa Cynique Majesté serait-elle en revanche la seule habilitée à proférer des accusations ?
En effet, ce modèle d’agressivité à son top s'est dite "très étonnée que l'Elysée ait diffusé à la presse de fausses informations". Ne conçoit-elle « l’égalité » de traitement des parties qu’en sa faveur ? Peut-on parler de son royal mépris de la justice ? Est-elle au-dessus des lois ? Et la justice serait-elle donc d’une coupable indulgence à son égard ?
Sur une page entière, à la fois dans"Le Parisien" et "Aujourd'hui en France", celle qui se plaint de n’avoir pas la presse à sa disposition poursuit. La vertueuse souligne qu'"il ne serait pas moral de donner quitus à un gouvernement qui, tous les jours, donne de mauvais exemples de gestion des affaires publiques". De « mauvais exemples », la sainte femme en fournit à chaque fois que la presse en mal de copie tourne vers elle un micro ou une caméra. Et à chaque fois, inlassablement, imperturbablement, elle déverse son fiel sur son vainqueur.

L’amère Royal ne va pas mieux.
Elle a consacré sa vie à Sarkozy !

3 commentaires:

  1. Une an et demi bien tassé que Royale nous intoxique de toutes ses réflexions rocambolesques,de ses accusations sans preuves, de ses mensonges délirants,j'avoue, je fatigue et commence à ne même plus men agacer ! Pour moi, elle n'existe quasiment plus.Dois-je me ressaisir parce que c'est peut être le but poursuivi par la dame poitevine,c'est çà dire faire rendre l'âme à ses détracteurs pour avoir la champ libre et poursuivre sa propagande anti- tout et toujours rien ( à proposer ) ???
    ps;: rectification : j'ai éclaté de rire en lisant sa reformultion de la phrse du Président : son elle est vraiment top" est hilarant, j'ai cru entendre une ado de 15 ans !!!

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  2. Je ne savais pas que la folie était une maladie contagieuse. A entendre Peillon, Bianco et...Montebourg, il n'y a plus aucun doute...Ils ont trop souvent approché la " Poitevine ! "

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  3. Pour Daniel :
    La folie ne contamine que celles et ceux qui y sont prédisposés !
    Comme le dit le dicton : "qui se ressemble, s'assemble"..Ce qui n'est pas spécialement rassurant, à vrai dire.

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