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samedi 21 mars 2009

Le Che-Besansenot fait l’unanimité contre lui

Chérèque met le trotskiste au pilori
Les conflits sociaux, chasses gardées des syndicats

Le secrétaire général de la CFDT a invité les responsables politiques à ne pas piétiner les plates-bandes de syndicats
Dimanche 15 mars, François Chérèque, a invité ses camarades des marches unitaires, interprofessionnelles et tutti quanti des 29 janvier et du 19 mars, à ne pas se prendre pour "des super délégués syndicaux", estimant par ailleurs que la présence des vautours du NPA du Che-Besancenot autour des entreprises en difficulté "fait un peu rapace".

Prenant l'exemple du conflit dans l'usine GlaxoSmithKline d'Evreux (Eure), François Chérèque a opposé "le travail énorme" des délégués syndicaux, par opposition aux "visées politiques" qui, selon lui, animent les militants politiques qui s'y sont rendus.
"Je suis allé à cette entreprise, GSK. A l'entrée de l'entreprise, deux militants NPA qui font le tour des entreprises en difficultés. Ça fait un peu rapace, c'est-à-dire qu'on attend la misère pour agir", a déclaré le secrétaire général de la CFDT lors du "Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro". "Nous, on agit au quotidien. Eux, quand ils partent, nous on est encore dans les entreprises. C'est nous qui faisons le travail pour essayer de trouver des solutions (...) Notre objectif, ce ne sont pas des visées politiques".

Le Che-Besancenot, importateur de produits révolutionnaires ultra-marins

Interrogé sur les déclarations d'Olivier Besancenot dans "Le Journal du dimanche" estimant qu'il fallait "s'inspirer de la Guadeloupe" pour résoudre les conflits sociaux en métropole, François Chérèque a évoqué une forme de "mépris" de la part du leader du NPA.

Le Che-Besancenot est-il un révisionniste ?
"Comparer ce qui se passe en métropole et comparer ce qui s'est passé en Guadeloupe, je crois que c'est une forme de mépris, qu'il peut y avoir aussi vis-à-vis de la Guadeloupe", a-t-il affirmé, soulignant que les racines du conflit en Guadeloupe dataient "de deux siècles, trois siècles". "Dire qu'en métropole c'est pareil, c'est nier ce qui s'est passé en Guadeloupe, c'est nier les problèmes de Guadeloupe, c'est avoir du mépris vis-à-vis des Guadeloupéens".

La co-gestion, c’est fini !
"Plutôt qu'aller dire aux salariés -comme l'a fait parfois le président de la République- 'je reviendrai dans six mois et vous garderez votre emploi', et que ça soit nous qui gérons après les déceptions.


Chérèque se mêlerait-il de politique ?
L'hyperactif responsable syndical omniprésent cherche-t-il à confiner le Président de la République dans l'Elysée ? Vers un quatrième pouvoir, syndical ?
Allez, Chérèque président !

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