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lundi 23 août 2010

D. Paillé consacre royalement un quart d'heure à Ségol'haine

Humour et courtoisie

Le personnage prête à la plaisanterie, mais la haute idée qu'elle se fait d'elle-même risque d'empêcher Désirdavenir Royal de savourer l'humour de Dominique Paillé.
Le porte-parole adjoint de l'UMP a fait son "petit quart d'heure Ségolène Royal" lors du point de presse hebdomadaire de son parti, le lundi 23 août 2010.
Il a ironisé sur "les propos toujours intelligents de cette femme politique" au lendemain de son entretien au Parisien.
Mon petit quart d'heure Ségolène Royal



"D'abord, elle a expliqué, elle qui est financée" par l'homme d'affaires Pierre "Bergé", que "véritablement Hortefeux ne s'intéressait qu'aux ultra-riches, alors qu'au PS il en va tout à fait autrement", a déclaré M. Paillé.
"Cela fait sourire. L'ensemble des Français sont conscients que sans l'argent sonnant et trébuchant de M. Bergé, Mme Royal ne pourrait que très difficilement s'exprimer", a-t-il ajouté.

Sur la sécurité, "elle a expliqué que la politique de Sarkozy créait de la violence", "c'est-à-dire que le président" serait "l'instigateur" des "faits divers dramatiques du début de l'été", a-t-il poursuivi, toujours ironique.
Dans son interview au Parisien dimanche, Ségolène Royal a affirmé que la politique de Nicolas Sarkozy "n'est en rien sécuritaire" mais qu'"au contraire, elle produit de la violence. La preuve: les agressions sur les personnes ont massivement augmenté depuis huit ans".
"La seule proposition qu'elle ait jamais faite dans ce domaine c'est de recruter des policiers hommes pour raccompagner les policiers femmes chez elles le soir", a déclaré le porte-parole adjoint de l'UMP.

"Cela me fait dire que quand elle n'est pas là, elle nous manque, comme disait Coluche, mais quand elle est là, elle nous manque aussi et c'est bien triste pour une femme politique", a déclaré Dominique Paillé.

"Dernier petit point personnel, "j'attends toujours, puisqu'elle devait porter plainte contre moi, la réalité de la plainte", a-t-il dit.
Ségolène Royal avait annoncé début juin une plainte pour "injures" contre M. Paillé, après un entretien de ce dernier au magazine féminin Causette.
"Quand j'ai dit qu'elle marchait sur les eaux, je traduisais une réalité incontestable. Elle l'a encore prouvé hier", a affirmé M. Paillé.

"Voilà ce que je pouvais vous dire. C'était mon petit quart d'heure Ségolène Royal", a-t-il conclu.

Vu l'humeur dans laquelle le sondage ViaVoice a dû la plonger (lire PaSiDupes), la présidente de Poitou-Charentes ne va pas tarder à entrer dans une "colère saine" noire: gageons qu'elle va en effet se sentir à nouveau injuriée !

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