POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

samedi 4 février 2012

La gauche caviar s'empiffre auprès de François Hollande

L'insolence de la presse est injuste

La presse engagée ne dit pas la vérité en toutes circonstances

La publicité faite par la presse vertueuse au dîner de Nicolas Sarkozy au Fouquet’s fut un grand succès, mais sa malveillance apparaît aujourd'hui au grand jour.

Crise ou pas crise, il est convenu, en France, de trouver choquant qu'un élu de la nation aille flamber presque la moitié d'un SMIC au restaurant quand les Français ont du mal à boucler leurs fins de mois, n'est-ce pas ? Ce n'est d'ailleurs pas plus brillant de la part d'un chanteur bobo des Restos du coeur, que l'on soit ou non le favori des Français, puisque Yannick Noah va dépenser à l'étranger et l'une des parachutées de Paris, puisque Cécile Duflot peut s'envoler aux Maldives le temps d'un week-end pour ne pas seulement consommer du CO2.

Cette règle de morale, populiste mais stricte, s'applique strictement et en tous cas à la droite, tandis que, quant à elle, la gauche ne peut être suspecte de manquement à l'éthique politique et sociale, puisqu'elle incarne la vertu: elle est la Vertu personnifiée !

Le silence des journalistes militants est acquis à la gauche caviar

Outre que les journalistes complices sont souvent accrédités et prêts à faire du bénévolat au-delà des 35 heures à certaines conditions, tous les vices sont permis aux socialistes détenteurs auto-proclamés de la morale et donneurs de leçons, y compris celui de demander aux Français de se serrer la ceinture et de payer plus d'impôts, tandis qu'ils font bombance entre larrons à l'abri des caméras.


François Hollande n'est plus au régime





Le Collectif "Sauvons les riches"
et Julien Bayou, conseiller d'Eva Joly,
n'ont pas fait irruption
à l'heure du déjeuner
pour s'indigner ?





Les camarades socialistes sont régulièrement conviés à la Maison de l'Amérique latine.

Le dimanche 16 octobre 2011, la terrasse de la Maison de l'Amérique latine, QG de François Hollande, dans le XXe arrondissement VIe arrondissement de la capitale, était bondée. Tandis que la Ch'tite Brochen-Aubry annulait sa teuf et son apparition dans une péniche parisienne, le député de Corrèze régala la marquise de Pomadour, Valérie Trierweiler, les éléphants, dont Moscovici et Le Guen, présent à tous les raoûts, de nombreux militants et journalistes: ils ont commençé au vin rouge et se sont finis au champagne...
René Dosière
, qui s'indigne des frais d'un président actif à l'intérieur comme à l'international, pourrait s'indigner de ce gaspillage de l'argent des militants, mais il n'en fera rien !

Le bon peuple se fait des illusions s'il s'imagine que le PS paie de sa personne en ingurgitant des plâtrée de quinoa pour y soutenir le commerce équitable, mais ces militants Rive gauche de la cantine socialiste ne font pas pitié car la grande bouffe y dépasse même celle de Sark au Fouquet's.
Lien PaSiDupes : "Les socialistes bling bling de la Maison de l'Amérique ..."


Le pot aux roses est découvert


Cette semaine, rapporte Le Parisien, le candidat qui "n'aime pas les riches" est allé déjeuner au très people et extrêmement coûteux restaurant gastronomique " Chez Laurent " (photos) - rien à voir avec ce radin de Fabius, puisqu'il faut compter environ 400 euros par personne à la carte, vin en sus ! C'est sans doute pour entretenir la réputation de la gauche sociale, à qui il ne reste de gauche que le caviar.

François Hollande déclare la guerre à l'argent-roi
Mais pas aux restaurants de luxe.
Le mardi 31 janvier dernier, c'est encore 'Chez Laurent" que Flamby 1er et Bernard-Henri Lévy, lui-même richissime héritier, ont déjeuné ensemble autour de la célèbre entrée " Truffes noires et salade de mâche ", une modeste entrée à 140 euros, suivie d'un simple petit carré d’agneau pour 92 euros, avant de terminer sur avec un ananas rôti pour la bagatelle de 30 euros(lien atlantico.fr). C’est Pierre Bergé, mitterrandien historique, qui a joué les entremetteurs entre les deux hommes dont les relations n’étaient pas au beau fixe. " Mon véritable adversaire, c'est la finance "...

Mediapart et Rue 89, Libération et Le Monde auto-censurent
Ils ne mangent pas de ce pain-là ?
Si vous êtes surpris du silence des media sur ce déjeuner de riches, si vous avez l’impression que les journalistes tolèrent très bien les débauches d’argent quand elles sont à gauche, et si vous êtes offusqué de la façon dont le repas au Fouquet’s de Nicolas Sarkozy a été monté en mayonnaise, mais celui de Hollande occulté, vous n’avez encore rien vu. Attendez que François Hollande soit élu.

Le candidat des défavorisés naïfs vient de démontrer qu'il peut compter sur la servilité des journalistes pour couvrir ses moindres excès.

Pallions les lacunes des auto-censeurs vertueux
Reproduction vivement encouragée, avec la mention de l'un des liens (ou les deux)
ci dessous :
Libération , Le Monde , non plus:
et Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):