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lundi 4 juin 2012

Bayrou marque sa différence envers Ayrault et se fige aux législative

Bayrou exclut de participer au gouvernement Ayrault

Bayrou, aigre-doux


On "ne peut participer à un gouvernement que si l'on est pleinement d'accord avec ses options principales"
, explique le président du MoDem, François Bayrou, dans un entretien à Direct Matin de ce lundi.

Le leader centriste a "des réserves sur le projet économique" de François Hollande

Bayrou aime être pris en compte
Alors qu'il doit être reçu ce lundi à l'Elysée par François Hollande dans le cadre des consultations du Président avec les responsables politiques préparatoires au G20 de Mexico et au sommet de Rio sur le développement durable, François Bayrou a salué cette initiative du chef de l'Etat.
"Je suis dans la position d'un interlocuteur libre, avec un a priori positif. Je soutiendrai l'action du gouvernement quand elle ira dans le bon sens. Si ce n'est pas le cas, je le dirai. L'immense majorité des Français n'attendent pas aujourd'hui un affrontement de plus entre gauche et droite. Ils attendent une coopération entre les grands courants politiques pour sortir le pays de la crise. C'est mon état d'esprit", assure F. Bayrou.

Cet opposant à la bipolarisation  PS-UMP  "trouve bien que le président ouvre des discussions avec les grands courants du pays". "Et à l'Assemblée, fait-il valoir, il faudra des voix libres pour apporter un jugement qui ne soit pas systématiquement pour ou systématiquement contre, agressif ou soumis". 

Bayrou se dit ouvert mais garde la posture

Intello incapable de s'engager, le candidat centriste isolé cultive sa spécificité, malgré sa position personnelle difficile dans son fief béarnais à  la législative du 10 juin.
S'agissant de ses chances d'être réélu député, alors qu'il a à affronter un candidat PS et un candidat UMP, Bayrou dit avoir "pleinement confiance en (ses) concitoyens des Pyrénées", et affirme n'avoir "jamais envisagé l'échec comme hypothèse à examiner".
François Bayrou s'est prononcé en février dernier pour l'introduction de la proportionnelle à hauteur de 25% des sièges et pour une réduction de 30% du nombre de députés à l'Assemblée nationale: il semble très déterminé à être  le premier perdant...

Doutait-il de l'hégémonisme du PS ?
 
"Je n'ai rien demandé, ni négocié. Toute ma vie, je me suis battu contre l'esprit partisan et le sectarisme qui sont les ennemis de la France", répond-il. Rejetant "une cohabitation de guerre" qui serait "un trop grand risque pour la France" et la "paralysie", il défend "l'idée d'une coopération et non d'un affrontement stérile".

Questionné sur les premiers pas de François Hollande,  Bayrou "trouve qu'il a bien négocié les premières semaines, notamment en politique étrangère" en portant "une thèse positive, celle du soutien à la croissance". "Pour autant, relève-t-il, aucune des décisions importantes qui vont devoir être prises n'a été abordée. Tout cela viendra après le 17 juin"...


8 commentaires:

  1. Pauvre de toi Bayrou , personne n'a plus envie de t'écouter et surtout pas de te suivre.
    Ta vie politique est "foutue" ne l'as-tu pas encore compris !!!

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  2. Pauvre de lui, il est en lévitation........Il parle comme un illuminé tel le dépositaire d'une mission divine, lui seul sait ce qui bien ou mauvais, ça oui, ça non ça peut etre que oui ou que non..............Il aurait fait un bon socialo, puisqu'il pense savoir tout sur tout et faire la leçon à tous les politiciens mais personne ne l'entend plus depuis longtemps.

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  3. bayroute voulais bine une place au gouvernement

    http://www.europe1.fr/Politique/Bayrou-amer-apres-son-soutien-a-Hollande-1103127/

    quand le PS lui a claqué la carte il a fait semblant de ne pas le vouloir

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  4. que Bayrou se débrouille , ça nous est bien égal :
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    L'Europe est encore malade de ses finances publiques et de ses déséquilibres macro-économiques. "Mais les médicaments commencent à agir", affirme José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, au terme du premier exercice de "surveillance macro-économique", sorte de bilan de santé de l'économie des pays membres, dont la réalisation a été confiée par les Vingt-Sept à la Commission. Douze pays ont particulièrement été scrutés. Les plus malades sont l'Espagne et Chypre. Vient ensuite un groupe de quatre pays, parmi lesquels l'Italie et... la France.

    Le bilan n'est pas tendre pour l'Hexagone, et les remèdes mis en avant par la Commission sont clairement d'inspiration libérale, et vont à l'encontre d'une bonne partie de ceux préconisés par le Dr Hollande. À commencer par le marché du travail. Ainsi la Commission déconseille d'augmenter le smic. "Il faut s'assurer que toute modification du salaire minimum soit bien créatrice d'emplois et de compétitivité", insistent les experts de Bruxelles, après une visite d'auscultation de plusieurs jours à Paris, et tandis que François Hollande a promis un "coup de pouce" au salaire minimum, mardi.

    Constatant que les chances de passer d'un CDD à un CDI ont diminué de 45 % en 1995 à 12,8 % en 2010 (pour une moyenne de 26 % dans l'UE), la Commission recommande de réduire le niveau de protection des contrats de travail et de faciliter les licenciements : le marché du travail doit être plus flexible. Cette évolution doit aller de pair avec un renforcement des moyens de Pôle emploi pour l'accompagnement des chômeurs et leur reconversion. Certaines professions (comme celle d'avocat) devraient être déréglementées pour leur permettre d'attirer plus de vocations.
    Bilan de santé

    La fiscalité doit aussi être réformée, affirme la Commission : les contributions sociales sur les salaires en France sont les plus élevées de toute l'Union. Cela a un impact sur les coûts salariaux et, en conséquence, sur la compétitivité des entreprises. Il faut donc les alléger et, en contrepartie, augmenter la fiscalité sur l'environnement et la consommation. Ce que Nicolas Sarkozy souhaitait faire en mettant en place la TVA sociale... que François Hollande a promis d'abroger.

    Selon la Commission, ces réformes structurelles sont obligatoires pour rendre l'économie française plus compétitive, donc pour créer à terme de l'emploi, et pour inverser la détérioration de la position française à l'international : la balance commerciale de la France est déficitaire depuis le début des années 2000, et les exportations françaises sur le marché mondial ont chuté de près de 20 % entre 2005 et 2010.

    Le bilan de santé porte aussi sur les grands comptes de l'État. Même s'il repose en bonne partie sur l'héritage de Nicolas Sarkozy et sur le projet de budget du gouvernement Fillon, les experts de la Commission avertissent la nouvelle équipe au pouvoir qu'elle doit réduire les dépenses de l'État si elle veut faire passer le déficit budgétaire sous la barre des 3 % en 2013. Enfin, telle qu'elle est engagée, la réforme des retraites ne suffira pas à rendre le système viable à partir de 2020. Un diagnostic gênant pour le gouvernement Ayrault, qui veut engager un retour partiel à la retraite à 60 ans.

    Les remèdes de la Commission doivent maintenant être approuvés lors du prochain sommet des chefs d'État et de gouvernement de l'UE, les 28 et 29 juin. Pas sûr que le docteur Hollande avale la pilule sans broncher.
    Click here to find out more!
    De notre correspondant à Bruxelles, Alain Franco

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  5. Ça commence déjà : entreprises qui sont au bord de la faillite, qui licencient, se replient sur leur pays d'origine ( par ex. l'Allemagne).........
    Voilà où le manque de vue au long terme de Flamby nous emmène.
    Le désastre ne va que s'amplifier.
    R É A G I S S E Z :
    IL FAUT QUE LA RÉACTION AUX LÉGISLATIVES SOIT TRÈS FORTE POUR ÉVITER QUE CETTE TENDANCE S'AFFIRME À NOTRE DÉTRIMENT,( C'EST LA MARQUE D'UN ÉNORME MANQUE DE CONFIANCE DANS LA POLITIQUE DE HOLLANDE LE PATAPOUF, mais ce n'est pas étonnant)

    Qui a réellement étudié son programme de près, l'a compris et a pu à ce moment là voter pour : des utopistes, des aigris, des non voyants et sourds à la fois, des analphabètes,.....
    Ô rage, ô désespoir, ô incompétences ennemies, nous sommes en train de tomber à cause d'incompétents mis en place pour.....cause de campagne pleine des paillettes de l'illusion, de mensonge, de promesses impossibles à réaliser dans le contexte actuel.
    Bayrou peut battre sa coulpe , il porte une responsabilité non négligeable dans ce qui arrive, qu'il aille se faire voir ailleurs.

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  6. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/05/97001-20120605FILWWW00521-cannabisduflot-ayrault-prend-ses-distances.php

    ça promet !

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  7. Je viens de faire un tour sur le blog "hexagoneries"
    indiqué à gauche de ce blog :
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    " 20 mai 2012, Cas de conscience.
    Mise à jour le Dimanche, 20 Mai 2012 17:54 Écrit par Administrator Dimanche, 20 Mai 2012 16:35
    inShare0

    Et c'en est un !

    Après avoir perdu l'élection Présidentielle, devons-nous profiter des législatives à venir pour rééquilibrer les pouvoirs ou bien, au contraire, laisser l'actuelle équipe les détenir tous, sans exception, de la Présidence de la République au Sénat, en passant par l'Assemblée Nationale ? La réponse est loin d'être si évidente que cela.

    Dans le premier cas, il faut se donner tous les moyens, tous sans exception, de gagner ces élections, quitte à piétiner l'interdiction qui nous est faite par notre adversaire direct, et accepter les voix de ceux qu'il a diabolisé depuis près de trente ans et qui sont, tout de même, une partie de notre électorat car on ne me fera jamais croire que près de 20% des électeurs Français sont des néo-nazis, au crâne rasé et prêts à défiler sur les Champs-Elysées en chemise brune. Certes, je n'ignore pas que les représentants de la bonne "pensance" tentent de nous en convaincre depuis les années Mitterrand et qu'après une si longue séance d'hypnose, nous finissons par le croire nous-même.

    Un... deux...trois, réveillons-nous ! Le piège est connu pour avoir sans cesse fonctionné, et c'est à nous qu'il appartient de ne plus nous y laisser prendre, à nous, cette fois, d'arroser l'arroseur, malgré les cris d'orfraie qu'il ne va pas manquer de pousser, et de faire ce qui ne pourra que nous faire gagner et, dans le même temps, contribuer à réduire l''influence d'un Parti devenu le fort utile croquemitaine de la 5ème République.

    Dans ce cas de figure, c'est bien, nous avons gagné, nous conservons la majorité à l'Assemblée Nationale mais, en échange, nous entrons dans une cohabitation qui, comme nous avons déjà pu en faire l'expérience, ne présente que des inconvénients dont celui, et non des moindres, qu'en cas d'échec de sa politique, l'actuelle équipe nous imputera la responsabilité de ne pas l'avoir laissée mener pleinement "sa politique"...

    Dans le second cas, on laisse, délibérément, tous les leviers de commandes au Pouvoir actuel et, conformément à l'adage par lequel "la critique est aisée mais l'art est difficile", nous leur laissons l'art de faire le grand écart entre les promesses électorales, d'un côté, et les réalités économiques, de l'autre, tout en nous réservant la position facile de la critique... mais de la critique constructive et non celle qui a meublé notre quotidien durant cinq ans.

    Bref, mon coeur balance."
    -------------------------
    Après cette lecture et ma réflexion précédant celle-ci,
    MON COEUR BALANCE AUSSI

    QU'EN EST-IL DU VOTRE ?
    CEUX QUI ONT DÉJÀ ÉCRIT DANS CE BLOG ET LES VISITEURS MUETS !!!!
    -----------------------

    C'EST, ON NE PEUT PLUS URGENT
    VOTER, COMME PRÉVU, S'ABSTENIR EN MASSE, VOTER BLANC
    QUEL DILEMME.

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  8. I M P O R T A N T : Voter en masse pour l'UMP
    "
    Ce qui compte pour l'UMP est d'avoir "le plus de députés possible", selon M. Copé.
    Notamment afin d'empêcher la gauche de totaliser 3/5e des sièges au Congrès (Assemblée et Sénat réunis), et
    d'interdire toute réforme constitutionnelle, notamment le droit de vote des étrangers aux élections locales. "

    C'est une bonne réponse il me semble. Il faut donc se mobiliser, car il y a d'autres réformes dangereuses pour l'équilibre des finances, et surtout ne pas creuser plus avant la dette.
    Car la gauche veux mettre tout le monde à contribution.
    ---------------
    Un autre renseignement :

    Succession et guerre des clans au PS

    Source: 20minutes.fr

    Elle me fait rire cette gauche qui montre du doigt la dernière sortie, maladroite, de François Fillon à l'égard de Jean-François Copé et qui comme à chaque fois qu'elle l'ouvre pour dire une ânerie aussi grosse qu'elle, oublie de balayer devant sa porte!

    Copé l'a précisé lors de son dernier meeting en Alsace pas de problème entre eux, et Fillon l'a approuvé par la suite.

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