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mardi 28 août 2012

Le cannabis à l'adolescence, c'est la promesse d'une chute de QI à l'âge adulte

La consommation de cannabis a des effets durables sur les performances intellectuelles... 




Cette beuh déchire grave !



Un joint, c'est pas malin

Les pétards des ados pourraient leur coûter cher en quotient intellectuel à l’âge adulte, selon une étude publiée en Nouvelle-Zélande. D’après les chercheurs, la consommation de cannabis a des effets durables sur le cerveau: sur les 1.037 enfants nés en 1972 et 1973, suivis depuis leurs cinq ans, ceux qui ont régulièrement fumé du cannabis ont perdu jusqu’à huit points de QI par rapport aux autres arrivés à l’âge de 38 ans. 

L’arrêt du cannabis ne permet pas de regagner des points 

Cette étude de chercheurs de l'université fédérale de Sao Paulo
, diffusée dans les Actes de l’Académie américaine des sciences, démontre qu'une consommation précoce réduit la flexibilité et les fonctions cognitives du cerveau. quand on étudie les capacités de leur cerveau, les consommateurs réguliers de cannabis qui ont commencé à fumer avant l'âge de 15 ans obtiennent de moins bons résultats que ceux qui ont commencé à fumer après.
Tous les autres facteurs ont été neutralisés pour que les cobayes soient "égaux" devant les effets du cannabis. Les adolescents ont subi des batteries de tests neuropsychologiques qui comprenaient des tests d'attention ou de persévérance et étudiaient leur faculté à bâtir des concepts abstraits ainsi que leurs capacités visuelles et physiques.

Avec des tests de QI réguliers, les chercheurs ont pu démontrer que ceux qui ont consommé régulièrement du cannabis ont vu leur QI limité par rapport à ceux qui n’ont jamais fumé. Ils ont aussi montré de plus faibles capacités de mémorisation, de concentration et de vivacité d’esprit. 

C’est en particulier la consommation de cannabis durant l’adolescence qui altère les capacités intellectuelles
Contre le coup de pompe à l'école,
un carré de cannabis à 4 heures,
et ça repart ?

"L'adolescence est une période très sensible du développement du cerveau, explique Madeleine Meier, psychologue et auteur de l’étude. En utilisant des substances agissant directement sur le mental, les jeunes peuvent perturber le processus cérébral normal". 

Et l'arrêt ne restaure pas les facultés perdues
Il ne servirait à rien de limiter sa consommation une fois passée la trentaine 
"L’arrêt ne restaure pas complètement les fonctions neuropsychologiques de ceux qui ont commencé à l’adolescence ", précisent les chercheurs. 

En France, on estime que 3% des adolescents de 15 ans fument régulièrement du cannabis et l’âge du premier pétard avance: à treize ans, 6,4% des jeunes avaient déjà fumé du cannabis en 2010, contre seulement 4,8% en 2006.


Moscovici soutient-il toujours l'économie (souterraine) des quartiers ?

2 commentaires:

  1. dans mon département la fumette c'est courant, ça se passe en public, vous pouvez être amené à traverser des nuages de fumées en pleine rue, sans que les fumeurs de cannabis soient inquiétés.D'ailleurs pour la plupart ils combinent avec le rivotril, le rhum enfin tout ce qu'on peut trouver à consommer. La police municipale n'intervient pas mais bon ils n'ont peut être pas de nez, c'est pareil pour la gendarmerie. Ca se passe aux abords des écoles maternelles et primaires - j'en connais une ou le poste de police se trouve à 40 mètres- des collèges bref tout le monde trouve que fumer du cannabis, c'est normal!!! Une ado mère de famille qui fréquentait ma classe en soufflait dans les narines de son bébé pour qu'il dorme bien la nuit. C'est bien beau de nous faire partager les résultats des recherches... pensez vous que ces gens là ça va les faire réfléchir???

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  2. Cher anonyme, c'est bien de soulever ce problème.

    Il y a des communes où la permissivité n'est pas la même, heureusement.

    Non ceux qui fument des joints, ne sont pas conscients des risques qu'ils prennent, et que la police municipale n'intervienne pas, ni la gendarmerie n'est pas étonnant, tant qu'ils n'y a pas d'accidents liés à ces comportements étant donné que nous avons un gouvernement très laxiste. Ils n'ont pas d'ordres venus d'en haut, et avec une ministre qui prône " la fumette "......
    C'est comme pour l'alcool, les gens conduisent même imbibés parce qu'ils sont inconscients de l'action de l'alcool sur leurs réflexes, et sur leur santé. De même pour les grands fumeurs. Ils sont responsables des autres, mais cette responsabilité ne les affectent pas.
    Les médecins tirent les sonnettes d'alarme, et il faut une certaine intelligence pour leur accorder l'audience nécessaire ( il en a été ainsi pour le sang contaminé, l'usage de certains médicaments etc)

    LE PROBLÈME EST :

    QUE LE GOUVERNEMENT EN PLACE N'ACCORDENT PAS L'ATTENTION NÉCESSAIRE À CE PROBLÈME IMPORTANT, ET DE CE FAIT NE MET PAS UNE POLITIQUE UTILE EN PLACE.
    LES MÉDIAS NE FONT RIEN NON PLUS ET POUR CAUSE, CERTAINS ONT AUSSI DE MAUVAISES HABITUDES.

    C'est à vous, aux particuliers de savoir se préserver, d'avoir la force de caractère pour ne pas tomber dans ce piège, afin de conserver l'intégralité de ses facultés pour son avenir.

    Il y a sûrement une association près de chez vous qui peut peut-être intervenir, dans les classes, et démontrer avec des exemples précis, les conséquences désastreuses sur le cerveau de ces " fumettes "

    ou peut-être un médecin d'un hôpital qui accepterait d'en parler?

    Bon courage, surtout ne baissez pas les bras.

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