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lundi 19 novembre 2012

Le féminisme nouveau est arrivé: révolutionnaire et souriant

Travestissement médiatique de la vérité sur le féminisme
"Frappées puis embarquées" ? 
Telle est la présentation partisane des contre-manifestants -les Femen et autres militants du mariage entre personnes du même sexe-  ont menée dimanche pour discréditer l'action autorisée des anti- "mariage pour tous " de l'institut Civitas. 


Spectacle de rue de Femen


Les féministes ukrainiennes aux seins nus, soutenues par la journaliste Caroline Fourest en reportage pour le service public (France 2), disent avoir été prises à partie par des manifestants parisiens. " Ils étaient 20 ou 25, a raconté la représentante des Femen en France  Inna Shevchenko. Ils m'ont jetée par terre et m'ont sauté dessus. Ils m'ont cassé des dents, et d'autres filles avaient la bouche ou le visage en sang. " 



Happening "artistique" de Femen,
pris pour argent comptant
par la presse à sensation

Leurs pseudo  "agresseurs" ?
" Le service d'ordre des nationalistes ", accuse-t-elle. " Ils s'en sont aussi pris aux journalistes, comme moi, parce que je filmais ", a assuré Caroline Fourest sur BFMTV. 
VOIR et ENTENDRE la version sonore de la partisane Caroline Fourest (France 2) en total décalage avec les photos de la vidéo montrant des manifestantes agressives aux seins nus:
Les Femen ont voulu manifester contre l'organisation catholique Civitas, " pacifiquement comme d'habitude ", prétend Inna Shevchenko. " Je vais aller faire constater mes blessures par un médecin, et porter plainte ", assure cette professionnelle de l'agitation.

Un détail ou deux manquent à l'histoire

Des 
extrémistes féministes ukrainiennes
Les militantes de Femen appartiennent à un groupe de protestation ukrainien, fondé à Kiev en 2008 et dirigé par Anna Hutsol, alternativement présentée comme sociologue, économiste ou théâtreuse qui organise des "happenings" artistiques qui provoquent la violence pour alerter la société et les autorités.


Activistes féministes Femen manifestant
contre l'intégrisme islamique,
le 31 mars 2012 à Pari
s


Leur champ d'action est extrêmement vaste: la démocratie, la liberté de la presse, les droits des femmes, a protection de l'environnement, la corruption, la prostitution, le tourisme sexuel, les agences matrimoniales internationales, le sexisme, la pornographie, la violence conjugale, le racisme et la pauvreté. Un vaste programme que Stéphane Hessel, vigilant nonagénaire branlant, ne renierait pas et qui ne fait pas peur à ces Walkyries de l'agit-prop.

Kiev est devenu la capitale de l'Ukraine indépendante en 2004 et le centre d'une vaste campagne de protestation pacifique (Révolution orange) des choix démocratiques de la société ukrainienne et de l'appui médiatique, politique et logistique de Vladimir Poutine.Conjointement, Pussy Riot ("émeute des chattes"), groupe de punk-rock féministe russe, formé en 2011, est pareillement un collectif qui organise à Moscou des actions "artistiques" non autorisées pour promouvoir les droits des femmes en Russie et, en 2012, pour s’opposer à la campagne du Premier ministre Vladimir Poutine en vue de l’élection présidentielle.

Les "Femen" sont des extrémistes de gauche


Ces agitatrices n'en sont pas à leur coup d'essai.
Les "sextrémistes" ont mené une action au ministère de la Justice, sous les fenêtre de Christiane Taubira, place Vendôme, le lundi 15 octobre dernier à l'heure du laitier..."La justice nous viole !" Les "sextrémistes" aux seins nus de Femen, comme ces soi-disant pacifistes se surnomment, ont lancé deux charges contre le ministère de la Justice pour protester contre le verdict du procès des viols collectifs de Fontenay-sous-Bois.>> Les Femen investissent Paris. Voir le reportage vidéo de 20 Minutes,  ici.
Vers 10h30, sept membres du collectif avaient surgi de nulle part au pas de charge. Sous le regard interloqué de plusieurs passants, les faibles femmes de Femen ont alors escaladé les fenêtres du ministère de la Justice, avant d'y brandir banderoles et pancartes, sur lesquelles on pouvait lire les slogans provocateurs "Rape me justice" ou "Justice fucks us" (en français : "la justice me viole" ou "la justice nous baise").
"20 Minutes a rencontré Marie-Ange (sic), observatrice "admirative"


"Je ne pourrais pas faire une chose pareille. J'admire leur courage." Un peu plus loin et alors que les Femen continuent de hurler leurs slogans, Mathilde reconnaît qu'il s'agit d' "un bon coup marketing, mais que leur combat est honorable". Elle dit d’ailleurs "soutenir positivement le mouvement", rapporte le quotidien qui ne voit que du positif.

A peine descendues de leurs perchoirs, cesspécialistes de l'agit-prop livrent leur propagande, alors que lLes pancartes et banderoles, elles, ont déjà disparu. "On veut montrer que la justice dysfonctionne", explique Eloïse, qui a rejoint le mouvement pendant les Jeux olympiques de Londres. Couronne de fleurs sur la tête et poitrine dénudée, elle explique qu'elles "s'attendaient à se faire embarquer", mais nie que se faire embarquer aurait couronné leur action, tandis que Caroline Fourest s'en serait plainte ! Mais Julia, qui revient sur leurs revendications et notamment leur demande "symbolique" de castration des violeurs, prévient qu' "il y avait un plan B de prévu".

Pendant qu’elles répondent volontiers aux journalistes, les portes du ministère se sont rouvertes. Et la présence policière s'est renforcée. Les activistes décident alors de tenter un nouvel assaut. Mais la nouvelle cavalcade ne permet pas aux jeunes femmes de forcer l'entrée du ministère. Il ne s'agissait en fait que de relancer un face-à-face avec les forces de l'ordre, sous l'oeil des caméras qui auraient pu montrer comment la police de Valls maltraite les femmes.

"On n’a pas d’arme à part nos seins"

Encerclées par les policiers, équipés de boucliers pour ne pas avoir de contact direct, les négociations s'engagent avec les fonctionnaires. "Au lieu de nous arrêter, arrêtez ceux qui nous agressent", crie l’une de ces paranoïaques. "On n'a pas d'arme à part nos seins", lâche une autre féministe professionnelle.

Déplacées sur le côté du ministère, elles seront ensuite raccompagnées par les forces de l'ordre vers la station de métro la plus proche, après qu'on leur a demandé de se rhabiller.


Mais, avant de disparaître dans la bouche de métro, les activistes promettent de nouvelles actions à venir. A l'initiative du collectif Féministes en mouvements, toutes les organisations défendant les droits des femmes devaient également resurgir au côté de Femen le même jour à 18h30 place Vendôme, pour demander une réponse politique après le verdict de Créteil.

Le 7 mars 2012, Mélenchon, Joly, Hollande photo ci-dessus) et Poutou (NPA) avaient répondu à l'invitation des "féministes en mouvements", lors d'une soirée d'interpellation.

Les activistes de Femen possèdent un "centre d'entraînement" à Paris



Sans tomber sous le coup
de la loi sur l'exhibitionnisme,

les extrémistes féministes ont célébré
seins nus, dans la rue,
  le 18 septembre 2012
 l'ouverture de leur centre d'entraînement


Les militantes ukrainiennes de Femen ont obtenu l'autorisation d'ouvrir un " centre d’entraînement internationaldans le quartier de la Goutte d'Or dans le 18e arrondissement de Paris consacré au " nouveau féminisme".


"Vas-y, déshabille toi et gagne ! "

C’est le slogan qu'ont scandé les activistes ukrainiennes et françaises de Femen, mardi 18 septembre, en plein cœur de la Goutte-d’or à Paris, sous l’œil égrillard des riverains. Cette vingtaine de féministes recrutaient pour " partir en guerre contre le patriarcat et la dictature ".

En revanche, les "victimes" de   Femen bravaient l'interdiction de leur manif par  la Préfecture. 

5 commentaires:

  1. Elles sont radicales. Mais vous parlez de violence exercée par elles, elles ont tapé qui, exactement ?

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    1. Leurs exhibitions sur la voie publique, dans les églises ou le Sénat sont des atteintes à la dignité et aux institutions, des attaques contre la République. Les démocrates s'indignent. Et pas vous !

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  2. Vous ne voyez pas qu'elles provoquent et tombent au sol en poussant des cris, sous le moindre prétexte ?
    Moi, j'ai vu ces féministes belliqueuses se jeter sur des hommes qui les repoussaient et qu'elles insultaient.
    D'ailleurs, leur centre d'entraînement, cà sert à quoi, selon vous ?

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  3. Vous savez ce que disait COLETTE (celle qui écrivit "Claudine à l'école" vers 1900) des féministes :

    "ELLES NE MÉRITENT QUE DEUX CHOSES : LE FOUET ET LE HAREM !"

    Ce message est un petit rappel de Lord HAW HAW...

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  4. Vous savez ce que disait COLETTE (celle qui écrivit "Claudine à l'école" vers 1900) :

    LES FÉMINISTES NE MÉRITENT QUE DEUX CHOSES : LE FOUET ET LE HAREM !

    post était juste un message de Lord HAW HAW (afin de rafraichir la mémoire à certains et SURTOUT à certaines...)

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