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dimanche 17 février 2013

Nantes: un père desespéré réclame l'équité des juges

Le divorce profite aux mères: un père s'en indigne depuis le sommet d'une grue

Cet homme est de ceux qui veulent assumer leur paternité


Les pères ne portent pas les bébés 

et leur attachement à leur enfant
n'en a que plus de valeur


Serge Charnay est retranché en haut d'une grue à Nantes depuis vendredi pour rétablir son droit de visite auprès de son fils.

Ce père de 42 ans a déclaré dimanche midi à des journalistes, présents au pied de la grue, qu'il n'a pas l'intention de descendre tant que ses revendications ne seront pas satisfaites. Un(e) juge l'a privé du droit de visite de son fils il y a deux ans, à la suite de sa condamnation pour soustraction d'enfant.

Libération qualifie ces papas d' "activistes"

Leur comportement est autrement plus digne que celui des Femen, mais une certaine presse les vilipende...
Un deuxième papa déchu, Nicolas Moreno (ci-contre), a choisi samedi matin de soutenir Serge en se retranchant sur une autre grue Titan des anciens chantiers navals de Nantes (Loire-Atlantique)."Je suis une grand-mère privée de petits-enfants", déplore Brigitte, pourtant très combattive.


Les pouvoirs publics prétendent vouloir venir en aide au père désespéré



Sans eau et sans vivres, le papa peut voir sa situation devenir critique.
S. Charnay "n'a pas bu depuis (samedi) matin" "et n'a plus de nourriture. 

Nantes, la préfecture de Loire-Atlantique a affirmé être prête à livrer eau et vivres au père retranché, mais il faut que l'homme les supplie...

"Nous n'avons reçu aucune demande de la part de M. Charnay concernant de l'eau ou de la nourriture. Samedi, lors d'un contact, il n'a parlé ni d'eau ni de nourriture. Nous ne sommes pas hostiles à lui faire porter de l'eau et des vivres, mais je voudrais qu'il confirme cette demande", a assuré Christian Galliard de Lavernée, préfet de région, qui ne prend pas l'initiative.



Humaniste, cet énarque de 63 ans a été fait préfet des Pays de la Loire et préfet de la Loire-Atlantique, département d'origine du Premier ministre Jean-Marc Ayrault, ex-député-maire de Nantes, par Manuel Valls, ministre socialiste de l'Intérieur, le ...30 mai 2012, deux semaines après l'arrivée de Ayrault à Matignon et de Hollande à l'Elysée.


"Tout ravitaillement de nourriture et médicament lui est refusé" par les autorités, a affirmé dans un communiqué Nicolas Moreno, l'autre père qui s'était lui-même retranché dans une seconde grue pendant quelques heures samedi à Nantes, par solidarité avec M. Charnay. Samedi à 17 heures, comme il l'avait annoncé à ses proches, Nicolas Moreno est redescendu de la grue sur laquelle il s'était hissé le matin. "Devenus frères d'armes", Nicolas déclare : "Je ne demande pas de favoritisme, juste la justice et l'égalité entre la mère et le père".


Dimanche midi, "toutes les tentatives de reprise de contact" des services de l'Etat avec M. Charnay n'avaient pas abouti, peut-être en raison d'une panne de batterie de son portable, a froidement commenté M. de Lavernée. Parce qu'il n'agit pas autrement que sur commande, ce préfet a précisé qu'une demande d'approvisionnement pourrait être formulée par l'intermédiaire de M. Moreno.



A la mi-journée dimanche, une tentative d'approvisionnement de Charnay s'était d'ailleurs soldée par un échec. 


Un homme s'est approché de la grue avec un sac de nourriture, mais ce sac a été confisqué par deux policiers, avant même d'avoir pu être accroché à une corde pour que le père en révolte puisse le hisser jusqu'à lui. "Je ne veux plus qu'un papa soit obligé de faire une grève de la faim pour réclamer son droit à voir ses enfants, parce que, tant que je suis là, quelques papas renonceront à se foutre en l'air de désespoir", a affirmé S. Charnay, rapporte M. Moreno qui fait état d'un courriel adressé dimanche matin aux media. "Je ne fais pas la grève de la faim et de la soif, je suis assiégé par les forces de l'ordre", a assuré encore le père retranché.
Désolé, ils sont de sexes différents !
Un troisième père s'est retranché pendant deux heures dimanche matin en haut d'une grue à Strasbourg

Il est redescendu de lui-même après une intervention de la police. 
Il se plaint pareilement d'être privé de tout contact avec son fils depuis trois ans.

"Ces deux jours ont été difficiles à gérer et il [M. Charnay] envisage un dépôt de plainte pour mise en danger de la vie d'autrui si la situation perdure", selon ce texte.
"L'être humain ne pouvant se passer de boire durant plus de trois jours, le risque de déshydratation et de mise en danger s'enclenche, aggravé par le fait qu'il [S. Charnay] est exposé au froid, au soleil et au vent", a souligné M. Moreno dans son communiqué. 

Dans ce même communiqué, S. Charnay donnait "rendez-vous aux media pour une animation en début d'après-midi", dimanche, sans autre précision.

La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, gère...


Elle a estimé dimanche qu'il fallait "entendre les revendications des pères" pour la garde des enfants après séparation, mais elle a refusé de se prononcer sur le cas de S. Charnay.


Son action intervient à quelques jours d'une journée nationale de manifestation pour les droits des pères, programmée par l'association SVP Papa mercredi à Nantes, ville du Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Alors que Bertinotti, déjà dépassée sur le "mariage" pour tous, n'a aucun avis sur la question, J Marc Ayrault a demandé à ses ministres de recevoir "SOS papa". Et Christian Dessert, président de Urgence Papa ?

Garde des enfants: le SOS de papas en détresse
"Trop de papas privés de leurs enfants"
"Je n'ai pas vu ma fille depuis 9 mois"

Parité homme-femme: "La garde obtenue par les mères à 75%"


Le coup de gueule des deux pères à Nantes révèle aussi une discrimination à l'égard des pères lorsqu'il s'agit, au terme d'un divorce, de régler la question de la garde et de la résidence des enfants.



Selon le ministère de la Justice, en 2009 (date des dernières statistiques connues), dans 8 % des cas, la résidence principale des enfants a été confiée au père après un divorce ; contre 74,6 % à la mère et 16,9 % aux deux parents, en résidence alternée. Un écart qui se creuse encore plus lorsque les enfants sont jeunes. Les juges aux affaires familiales hésitent, en effet, à séparer les enfants de moins de 5 ans de leur mère ; quitte à entériner le vieux schéma selon lequel la mère doit garder son enfant…

Presque onze ans après son instauration par la loi du 4 mars 2002, la résidence alternée des enfants - une semaine chez le père, une semaine chez la mère - suscite toujours autant de débats, alors qu'elle connaît un engouement, notamment dans les milieux urbains et aisés.
La résidence alternée concernait en 2012 entre 15 et 20 % des enfants de couples divorcés contre moins de 5 % dix ans auparavant. Un pourcentage qui devrait augmenter dans les années à venir.


D'ores et déjà, plusieurs propositions de loi incitent à un recours plus fréquent voire systématique à la résidence partagée; et plus précoce en ce qui concerne l'âge de l'enfant. L'association d'aide aux pères divorcés, Urgence Papa, plaide pour faire de la garde alternée une norme plutôt qu'une exception.



13 commentaires:

  1. Et si on commençait par exiger que les JAF soient représentatifs de la population qui passe dans leur bureau... ? Soit en général et avant projets de Mme Taubira 50% d'hommes et 50% de femmes. D'ailleurs si les JAF n'étaient pas, à quasiment 100% des femmes, les mère auraient sans doute deux fois moins la garde systématique des enfants...
    Côté égalité des droits, voyons ce que le père Hollande va nous inventer et côté justice, ne rions pas c'est Taubira qui s'en charge... Messieurs, vous êtes en bonnes mains :-)

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  2. Attention à la récupération de certains sujets par des associations "vertueuses" qui ne sont que des rabatteurs pour avocats un peu foireux...
    Quand on abordera le droit des Enfants comme autre chose qu'un business dont les premières victimes sont ceux que l'on prétend défendre, on aura fait un grand pas en avant...

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    1. Récup ou non,le problème humain de l'(in)équité entre les sexes est réél. Les pères victimes d'injustice sont aujourd'hui qualifiés d'activistes par une partie de la presse. Que dire alors des Femen !...
      Il ne sert à rien de nier qu'en l'espèce les femmes reçoivent la garde de l'enfant dans au moins 75% des cas, bien que le tribunal admette leur part de responsabilité et qu'elles créent ensuite, ils le savent, des difficultés aux pères, en déménageant par exemple. Les géniteurs se voient souvent retirer la possibilité d'exercer leur droit de paternité.
      La garde partagée ne fonctionne pas spécialement bien quand elle n'a pas été négociée et acceptée: il manque une instance d'arbitrage.
      Sans associations ni avocats, les pères seraient privés du droit élémentaire de participer à l'éducation de leur enfants, car la justice est partisane, voire militante et sexiste, comme le montrent les trois cas actuels: elle est rendue en fonction de l'air du temps et sous la pression d'autres associations, féministes cette fois, qui ne sont en rien plus impartiales. Le texte de la loi est bafoué dans son application et le sera aussi longtemps que les juges interprèteront librement son esprit (!) plutôt que d'en respecter le fond.

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  3. Ecoutez, rien n'est simple avec le droit a ceci ou à cela............

    Moi j'ai un cas proche de moi........Ma cousine, son mari l'a quittée, la procédure est en cours ..........Elle a obtenu la garde de ses enfants..........le père a obtenu la garde des enfants un WE Sur deux...........le problème est qu'il est souvent en déplacement........alors devinez qui vient chercher les enfants pour le WE? La femme avec qui il vit et parfois c'est la mère de sa maitresse qui les gardent ..........

    Elle en a parlé a son avocate, celle ci lui dit qu'elle ne peut rien faire pour faire cesser cette aberration.

    Trouvez-vous cela normal, moi non. Des pères agissent souvent très mal. Alors que les pères jouent les martyrs et aillent pleurer au ministère...........m'ennuie un peu.

    Ce qui est anormal, c'est que face à un juge, c'est lui qui décide même si la décision est contraire à ce qu'elle devrait être et on doit se taire. Ils jugent selon leur idéologie et pas toujours sur les faits.
    C'est inhumain de priver un enfant de sa mère puisqu'il faut aujourd'hui privilégier les pères parce que c'est la mode.
    Mais c'est inhumain aussi de priver un père de tout droit de voir son enfant............
    On en revient à ca qui a occupé pas mal de gens et enflammer les passions, un enfant a besoin de son père et de sa mère.

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    1. Chaque cas est différent, on ne peut généraliser, les familles ont le sentiment que l'on traite un dossier parmi tant d'autres.

      En attendant, c'est très compliqué pour le JAF, chaque parent a sa vérité.
      Quand il y a maltraitance prouvée, la décision coule de source !

      Des pères peuvent se sentir supérieurs par l'argent, l'éducation, la culture et des mères peuvent oublier qu'il leur a fallu un homme devenu père pour faire un bébé.
      Des mères peuvent mentir aussi pour avoir la garde (attouchements, inceste) et les enfants peuvent être influencés par l'un des parents.

      Lors d'une enquête sociale, les travailleurs sociaux ont un travail difficile mais il est dit qu'ils n'en font jamais assez.

      Il peut y avoir aussi des enfants qui veulent à tout prix réunir la famille et qui joue avec les nerfs de la belle-mère, ça existe aussi.

      La garde partagée en cas d'éloignement des parents c'est à oublier, alors que faire ?

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    2. Pourquoi la femme avec qui il vit serait une "maitresse" ? Et pas juste une compagne ?
      Pourquoi votre cousine placerait-elle ses blessures d'amour propre au dessus de l'intérêt de ses enfants ?
      Pourquoi sent-on déjà ce discours sous-jacent du "mauvais père qui ne mériterait pas ses enfants parce qu'il est souvent en déplacement" ?
      En outre qui quand comment et pourquoi un père peut faire garder ses enfants par sa nouvelle belle-mère et non pas "la mère de sa maîtresse" ne vous regarde pas...
      Vous viendrait-il à l'esprit de demander à votre cousine de se justifier auprès de leur père, de ce qu'elle fait avec ses enfants ?

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    3. Pourquoi je l'appelle sa maitresse? Mais simplement parce qu'ils ne sont pas divorcés......

      Que diriez vous si des personnes que vous ne connaissez ni d'Adam ni d'Eve passent chercher vos enfants pour les vacances scolaires ou le WE?
      Pourquoi des personnes qui n'ont aucun lien AVEC LES ENFANTS sont autorisées à en avoir la garde pour le WE OU LES VACANCES ALORS QUE LE PERE EST ABSENT?

      Que diriez vous si les enfants n'avaient pas le droit d'appeler leur mère en confisquant le téléphone portable.......etc.....et toutes les petites mesquineries qui perturbent les enfants?
      Les enfants n'ont pas à être les otages des parents.

      Cela me regarde justement parce que son mari n'est ni un gentleman ni un type qui veut réussir son divorce pour le bien de ses enfants à défaut d'avoir réussi son mariage.

      Il y a des milliers de gens qui divorcent ou se séparent, mais qui ont l'intelligence de ne pas utiliser les enfants par exemple pour des enjeux financiers..........

      Pourquoi ma cousine devrait se justifier auprès de son mari de ce qu'elle fait avec ses enfants......

      Voyez comme vous orientez les choses parce que vous êtes sans aucun doute touché par ce sujet.............

      Vous n'avez pas lu ma dernière phrase qui est "un enfant a besoin de son père et de sa mère."

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  4. J’espère juste que vous ou elle ne qualifiez pas la compagne du père de maitresse devant les enfants... Il y a une façon plus logique et plus élégante de présenter les choses: Vous prétendez qu'au lendemain du divorce elle accèdera au rang de compagne ? Pourquoi ne pas commencer à dédramatiser la création d'une famille recomposée, pourquoi laisser planer cette aura d'illégitimité ? Son ex aura les torts du divorce, sans aucun doutes, mais ça n'autorise pas madame ou vous même à porter de jugement de valeur sur la relation du père avec sa nouvelle famille... Ce type d'état d'esprit même révèle le contexte et si votre cousine s'est faite larguer pour quelqu'un d'autre, ce n'est pas plaisant pour elle (ni pour les femmes de sa famille qui se mettent toutes à sa place) mais c'est aussi la vie et le risque que comporte un mariage. C'est à ce stade que l'on voit si l'adulte le reste et s'il va privilégier le bien des enfants: Le père est visiblement parti, le ressenti est donc plutôt logiquement de son côté à elle... et ça se sent au travers même de ce que vous contez.
    Ensuite, et c'est un constat que beaucoup de monde fait, la mesquinerie, le blocage, l'aliénation parentale est plus fréquente de la part du parent qui a la garde principale...
    Enfin, je vous renvoyais juste un effet miroir: votre cousine fait ce qu'elle veut avec ses enfants y compris les faire chercher à l'école ou à la danse par qui elle veut et il ne viendrait à l'esprit de personne de lui demander de se justifier. Or suivant votre raisonnement il ne serait pas "normal" qu'elle le fasse et le père aurait le droit d'aller s'en plaindre à son avocat, qui en effet lui répondrait avec logique "il n'y a rien à faire"...
    Votre cousine affirme ainsi que le père est incapable de s'occuper de ses enfants, qu'il prend des décisions inappropriées et poussons le bouchon plus loin que la nouvelle compagne pourrait être dangereuse pour les enfants :-) C'est quand même bien les extrêmes que les gens qui vivent mal leur rupture atteignent non ? Et imaginons maintenant que votre cousine soit heureuse de cette séparation, cherche avant tout à équilibrer ses gosses : pourquoi ne profiterait-elle pas d'une garde alternée pour sortir, voir du monde, poursuivre son chemin avec l'homme qu'elle choisira...?
    Je suis "surprise" du nombre de mes congénères qui font des enfants (parfois même par surprise !) avec des hommes qui se transforment en monstres le jour où ils quittent de telles femmes...
    Enfin, oui! c'est un sujet qui me touche parce qu'il cause de très graves dégâts chez de jeunes enfants, blessés durablement par des états d'esprits qui appliquent leur filtre social-religieux-moral-habitudes-convenances etc sur une vie que 1- il ne convient pas de juger et 2- qui vient de changer suffisamment brutalement pour que les "adultes responsables" n'en rajoutent pas...
    Désolée si mes propos vous choquent, mais ce qui se passe après une séparation ne regarde plus l'autre parent et il serait mature d'apprendre à ne pas vouloir obstinément contrôler et juger l'existence de l'ex : cela est toxique pour les petits... En outre, quelque soit les difficultés que votre cousine a avec ce concept, il n'est pas d'obligation légale qui exige qu'elle rencontre ou connaisse les amis ou la compagne de son ex... (et heureusement !)

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  5. SUITE...
    C'est peut-être aussi comprendre que toute mère qu'elle est elle-même n'est pas parfaite et le père des enfants (avec qui elle a fait l'amour pour les avoir) est un adulte qui aime ses enfants. En définitive cherchez toujours la petite bête, il y aura toujours quelqu'un pour apporter de l'eau à votre moulin, surtout côté JAF, mais êtes-vous vraiment convaincue que vous avez le beau rôle et qu'au fond de vous vous avez éliminé toute notion de projection, de solidarité féminine, fait abstraction de vos propres échecs et que oui absolument ! tout au fond de vous vous ne voulez que le bien de ces enfants ?
    PS : Des personnes "qui n'ont rien à voir avec les enfants" partagent déjà au moins l'amour d'un même homme, des repas, des rires et de la confiance, réfléchissez mieux :-) cela n'est pas rien et c’est sans doute ce qui fait pester votre cousine, mais si elle est intelligente elle s'arrêtera avant de se faire envoyer bouler par des ados qui préfèreront aller vivre avec le parent qui ne remet pas l'autre sans arrêt en question. Maintenant si vous savez que ces enfants là sont en grave danger (réel) contactez les services sociaux et impliquez vous dans leurs vies en expliquant aussi aux enfants dans quel but vous œuvrez... Bon courage !

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  6. j'ai perdu mon temps à échanger avec vous et de plus je ne vous demandais rien. Vous êtes d'une suffisance.........faites attention, la terre doit se fissurer quand vous marchez.....Vous ne comprenez que ce qui vous arrange et transposez selon votre histoire ..........et vous vous vous autorisez de critiquer ma façon de penser .......... J'ai parcouru votre dernier billet et vous délirez complétement.....


    Vous devez faire partie de ces bornés qui sont pour le droit à l'enfant et peu importe les conséquences, plutôt que les droits de enfant.......

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  7. Difficile de suivre votre échange...
    Et si vous preniez chacun un pseudonyme que nous sachions qui parle à qui ?

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    1. Oui vous avez raison, désolé d'avoir embrouillé les échanges.....-4-7-10 c'est moi
      Lisa

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    2. Il n'y a pas de souci, Mary. Vos commentaires sont toujours attendus et notre suggestion vise simplement à faciliter la bonne compréhension de tous. Bon WE et à bientôt ici, pour la bonne cause !

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