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samedi 21 février 2015

Dérapages des manifestations d'extrémistes contre les "violences" policières

L'extrême gauche pourrit la vie des Toulousains et Nantais

800 manifestants à Nantes et 400 à Toulouse se sont rassemblés ce samedi 

Violences d'extrême gauche anarcho-révolutionnaire et trotskiste
pour lutter contre les... violences policières !
pour dire non aux "violences" policières. Les anarcho-révolutionnaires cultivent leur colère sans laquelle ils ne seraient plus grand chose. Des manifestations émaillées de violences ont en effet opposé les activistes aux forces de police ce samedi à Nantes et à Toulouse sur les zones à défendre comme celle de Notre-Dame-des-Landes, notamment, car ils faudrait également citer les fermes-usines.
Civisme et lutte contre l'austérité
des anti-républicains anarcho-révolutionnaires
A Nantes, ils ont défilé derrière une banderole "Contre les violences policières, sociales, économiques... Résistance", samedi après-midi, un an après la manifestation violente du 22 février 2014 contre l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, voulu par Jean-Marc Ayrault, avec "détermination."

La tension est montée peu avant 16h (photos ci-dessus), quand des activistes encagoulés ont jeté des pierres sur les forces de l'ordre, qui ont répliqué avec des canons à eau pour tenter de les disperser.

17 blessés, dont 15 policiers, à Nantes
La police dresse le bilan: "1000 manifestants dont 2 blessés, 15 policiers blessés,10 interpellations". Plus tôt, elle faisait état d'un seul policier a été blessé au thorax par un jet de pierre, à la manière palestinienne' et qui avait été transporté au CHU.


A Toulouse, une manifestation en soutien aux "zones à défendre" (ZAD) a réuni 450 personnes, selon la police. Les manifestants ont dénoncé "l'agriculture intensive et le monde des bétonneurs".

Les forces de l'ordre ont répliqué aux jets de peinture des extrêmistes par des gaz lacrymogènes. Pendant ce temps, d'autres manifestants lançaient des projectiles contre des vitrines, dont celle d'un bureau de transferts d'argent et d'un magasin de... décoration.

Les pseudo-"pacifistes" n'assument aucune responsabilité républicaine

Les protestataires, souvent très jeunes et pour beaucoup le visage masqué, avaient déployé en tête de cortège une banderole - noire - aux lettres blanches, à la mémoire du jeune altermondialiste, Rémi Fraisse, porteur de matières inflammables : "Je suis Rémi et toutes les autres victimes de la police". Les dessinateurs anarchistes de Charlie hebdo qui ont provoqué les attentats meurtriers de djihadistes de France à Paris tiennent le même discours. "On n'oublie pas, on ne pardonne pas", clament les haineux sur la voie publique.
Le jeune militant avait été tué par une grenade défensive de la gendarmerie au cours d'affrontements avec les représentants de la loi lancés par le ministre de l'Intérieur sur le site du projet contesté de réservoir d"eau Sivens (Tarn), le 26 octobre 2014. Les activistes anarcho-révolutionnaires ont clamé des slogans anti-républicain comme "Tout le monde déteste la police", "Flics assassins".

Parmi les manifestants, quelques drapeaux du NPA (extrême gauche trotskiste), co-organisateur du mouvement. Plusieurs dizaines de jeunes s'étaient grimés en clowns. Quelques autres étaient déguisés en plante.




A Toulouse comme à Nantes, le dispositif des forces de l'ordre était particulièrement important, en rapport de la capacité de destruction des hordes en noir, les précédentes manifestations du même type ayant donné lieu à de nombreux affrontements et dégradations dans les deux villes.


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